À Toulon, loin des plages fréquentées et des parties touristiques, dans une ruelle encaissée entre des murs pâles rongés par le humeur, vivait une féminitude que l’on appelait simplement Liora. On disait d’elle qu’elle savait décoder le futur non dans les cartes, ni dans les oracles, mais dans les articles https://grahamb059kwf6.blogaritma.com/32504040/les-lignes-qui-persistent