À Toulon, loin des plages fréquentées et des localisations touristiques, dans une ruelle encaissée entre des murs pâles rongés par le fantôme, vivait une femme que l’on désirait simplement Liora. On disait d’elle qu’elle savait lire le destin non dans les cartes, ni dans les lignes de la main, mais https://damienkalve.blogcudinti.com/34321435/les-silhouette-qui-persistent