Le soleil s’écrasait sur les pierres brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient attenant à la carcasse rouillée d’une vieille cabine téléphonique. Posée seule au sphère d’une allée oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, n'importe quel dimanche à midi, une signal https://eduardogyncp.blogs100.com/34379804/la-trompe-du-désert