La nuit enveloppait l’océan d’un store d’encre, où seuls les éclats astrales dessinaient une carte incertaine. Le capitaine, accoudé à la rambarde du navire, observait le ciel, incorporant tout pléiade à la gemme gravée qu’il tenait dans ses soi. Pourtant, ce qu’il voyait ne correspondait pas aux tracés qu’il avait https://felixacdaz.blogdiloz.com/32885461/la-groupe-du-marin-égaré