Arthur resta figé sur la scène, le regard déterminé sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait individu, aucun mouvement, zéro brise assez majeure pour accoucher un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer seul, tels que s’il répondait à une présence imperceptible. https://lukashxhpw.blogolenta.com/30734896/la-partition-du-destin-figé