Clémence resta sédentaire un long moment, absorbée par les motifs modelés dans le fond de la tasse. Chaque ligne semblait pervibrer, éloquente d’une envie subtile qui lui échappait encore. Elle savait que ce qu’elle voyait n’était pas une coulant amoncellement de résidus laissés par le café. Il s’agissait d’un langage, https://hectorrvyyu.izrablog.com/33553562/voyance-sans-cb-de-lauriana